Philippe HAUMESSER

 

/ Philippe HAUMESSER

14-07-1971 premier regard sur le monde Alsace, France
01-12-1991   premier jour de Gadz’Arts
11-08-2000   première photographie numérique
14-11-2007   fin de ma première vie
31-10-2009   premier shooting d’un concert groupe Excalembour
20-10-2010   première confrontation aux limites de la photographie de danse
10-07-2011   premier shooting en studio d’un danseur Kevin Yee-Chan
05-05-2012   première exposition Call of Humanity - un autre regard sur l’amour
16-02-2013   premiers hyperportraits Tesseract KYC & Tesseract LW
17-05-2014   première exposition de la série [Arts&Co]3 hyperportraits des 8 arts majeurs
16-10-2015   première installation pour EDF ®EVOLUTIONS, installation sous tension - danger de vivre
05-04-2016   première acquisition par Canon d’une œuvre pour leur fond photographique H comme...
18-11-2016   première série photographique pour une grande marque française de Luxe
14-02-2017   première acquisition publique d’une œuvre par Les Dominicains de Colmar PHœNix

____________________________________________________

chasseur d'âme et guerrier de la lumière
au chiaroscuro attisant la danse de la vie
ma photographie est déclaration d'amour

____________________________________________________

____________________________________________________

La révolution numérique a vulgarisé la photo,
je souhaite au travers de mes hyperportraits
la resacraliser.

HYPERPORTRAITS
la nouvelle dimension de la photo

une collection de portraits multidimensionnels
en clair-obscur et transparence transcendant
la surface des choses grâce au volume

____________________________________________________

Mes HYPERPORTRAITS sont issus de ma quête de réponses à une double antinomie :
  • Comment réaliser un vrai portrait de danseur, qui doit se mouvoir pour émouvoir alors qu’un photographe fige un instant pour le rendre éternel ?
  • Comment être encore un vrai portraitiste, alors qu’à l’ère des selfies il suffit de sortir de sa poche son smartphone pour se prendre en photo ?

Ma réponse a été de sortir du cadre traditionnel en décrochant la photographie des murs pour la faire entrer dans un nouvel univers, celui de l’espace.
Mille milliards de photos ont été prises en 2015, il s’agit avec mes hyperportraits de retrouver la rareté et le sens originels de la photographie : écrire avec la lumière sur des plaques sensibles.
Des milliers de photos tiennent sur une carte mémoire de la taille d’un timbre-poste, il s’agit de redonner à la photographie sa place, une place réelle, une matérialité, en développant le volume.
Mes hyperportraits visent à repousser les limites de la photographie, pour exprimer sur ce nouvel axe dimensionnel ce qu’elle ne pouvait pas, en étant restreinte à la planéité ou au virtuel.